La blonde c'est le gourou, la brune c'est la fanatique. Ils voient le siècle comme une soumission, parle bien lorqu'il le faut, mais s'arrache les poumons pour finir dans un bonheur éphémère. A peine arrivée, la petite nouvelle se fait défoncer. Grand besoin d'un aqua, certain sourir lui transperce les yeux. Je parle de la brune bien sur. Parler de vie écorchée serait un euphémisme. Quand elles ferment les yeux elles voient des oiseaux qui volent calmement, puis attérissent sur un arbre, coupé en plein vol, et elles se demandent si cela va leur arriver. La vie que l'on mène, celle que l'on vie tout les jours, c'est celle que nous créons. Nul ne peut vivre à notre place. Je ne pense pas que l'on dépend des autres si l'on sait un peu ce débrouiller. Je dirrige ma vie. Je ne veux pas vous ressembler. Il ne me manque qu'une chose, mais j'aurai raison de la patience. Le pire c'est qu'il n'y a qu'une chose qui fait que je m'arrète de vivre, ce putin de truc que l'on ressent, qu'on essait parfois d'oublier dans un verre ou dans de l'illicite. Tant mieu, on est jeune. C'est comme sa.
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